MST, Santé au quotidien |
Les femmes qui sont lesbiennes fréquentent moins le réseau de la santé, de peur d’être victimes de discrimination. Il est important de discuter d’ITS avec votre médecin, surtout si vous avez déjà eu des relations hétérosexuelles. Les besoins de soins de santé des lesbiennes sont en règle générale les mêmes que ceux des femmes hétérosexuelles.
Le virus du papillome humain (VPH) et le cancer du col de l’utérus
Les femmes ayant des relations sexuelles avec des femmes (FARSAF), passent moins de tests Pap ou de cytologies du col de l’utérus que les femmes hétérosexuelles. Une étude récente a démontré que 13 % des FARSAF sont infectées par le VPH. Comme nous l’avons vu dans le chapitre sur les condylomes ou le VPH, certaines souches de VPH augmentent le risque de progression vers le cancer du col de l’utérus. Une cytologie ou un test Pap peuvent détecter les lésions précoces, permettant ainsi d’offrir un traitement adéquat et une guérison pour ce type de cancer. Les FARSAF qui renoncent à passer un test Pap ou un dépistage pour le VPH s’exposent à un risque accru de développer un cancer progressif du col de l’utérus. La prévention demeure l’élément clé! Il est recommandé de passer un test Pap à tous les 2 ou 3 ans. Discutez-en avec votre médecin. Le VPH peut se transmettre d’une femme à une autre par un contact avec des sécrétions vaginales infectées, des verrues génitales et/ou par le partage d’objets sexuels. Parmi les pratiques sexuelles sécuritaires, on retrouve le nettoyage des objets sexuels entre chaque utilisation et/ou l’emploi d’un condom pour les objets utilisés pour la pénétration.
L’herpès simplex – l’herpès génital
L’herpès génital chez les FARSAF est également assez fréquent. Alors que l’herpès de type-2 se transmet principalement par un contact d’organes génitaux à organes génitaux, ou avec des sécrétions génitales contaminées, l’infection que l’on rencontre le plus souvent parmi les FARSAF est l’herpès de type-1, qui se transmet par un feu sauvage des lèvres aux organes génitaux.
Les hépatites
L’hépatite A est transmise par la voie féco-orale (contact avec les selles), de manière directe ou indirecte. La transmission chez les FARSAF a été documentée mais n’a pas été étudiée de façon exhaustive. La vaccination contre l’hépatite A est un moyen de prévention efficace. Parlez-en à votre médecin!
L’hépatite B est transmise par un échange direct ou indirect de liquides biologiques contaminés (sécrétions vaginales) ou par le sang (coupures, plaies, flot menstruel). Il est important d’éviter tout contact avec le sang ainsi que les liquides biologiques si le statut de l’hépatite B de votre partenaire est inconnu. Même si cela n’a pas été étudié sur une grande échelle, la transmission de l’hépatite B a été rapportée chez les FARSAF. L’hépatite B peut aussi être prévenue par la vaccination. Parlez-en à votre médecin!
On est encore à évaluer les risques de transmission de l’hépatite C par les relations sexuelles. À ce jour, on sait que l’hépatite C est transmise principalement par un contact avec du sang contaminé. Donc, éviter un contact avec le flot menstruel d’une partenaire dont le statut de l’hépatite C est inconnu serait plus prudent. Il n’existe pas encore de vaccin contre l’hépatite C.
Le VIH/sida
Quelques cas de transmission du VIH/sida entre les FARSAF ont été rapportés. L’infection peut se transmettre par un contact avec des sécrétions biologiques contaminées (sécrétions vaginales) ou par le sang (flot menstruel ou autre). Encore une fois, la prévention est l’élément clé ! Le sexe sécuritaire incluant l’utilisation de méthodes barrières 100 % latex , soit une digue dentaire pour le sexe oral ou un condom pour les objets sexuels employés pour la pénétration, sont des méthodes ayant prouvé leur efficacité dans la diminution du risque potentiel de transmission du VIH.
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Les infections transmises sexuellement (ITS)
L’incidence des ITS est élevée chez les HARSAH qui sont actifs sexuellement — c’est-à-dire que les ITS sont assez fréquentes dans cette population. Cela inclut les infections faciles à traiter ou guérissables (telles que la chlamydiose, la gonorrhée, la gale, les poux du pubis, la syphilis, etc.) ainsi que les infections plus difficiles à traiter ou non guérissables, telles que le VIH/sida, l’herpès génital, les verrues génitales (virus du papillome humain – VPH), les hépatites, etc. La prévention par l’adoption de pratiques sexuelles sécuritaires est donc primordiale!
Le VIH/sida
Les HARSAH ont un risque élevé d’attraper l’infection par le VIH. L’historique du VIH/sida dans cette communauté depuis sa découverte au début des années 1980, démontre que le succès passe par l’éducation et la prévention. Les dernières années ont été caractérisées par une nouvelle vague d’infections par le VIH dans la jeune population gaie — en tandem avec le retour, dans plusieurs centres urbains, des pratiques sexuelles non sécuritaires (relations anales sans condom). La prévention est essentielle : les pratiques sexuelles sécuritaires réduisent le risque de transmission du VIH! Les nouveaux traitements puissants pour traiter l’infection par le VIH/sida ne représentent pas la solution ultime. (Pour plus de renseignements sur les pratiques sexuelles sécuritaires, veuillez consulter le chapitre sur le VIH/sida).
Les hépatites
Les HARSAH sont aussi à risque élevé de contracter une hépatite — particulièrement les hépatites A et B (voir hépatites dans la section sur les ITS) et possiblement l’hépatite C. L’hépatite B peut être transmise lors des relations sexuelles impliquant les pénétrations anales non protégées et le sexe oral (fellation). L’hépatite B est rarement transmise par la salive (baisers). Les HARSAH qui ont de multiples partenaires ont un risque de 10 à 15 fois plus élevé de contracter l’hépatite B comparativement à la population générale. L’hépatite A est transmise par voie féco-orale (contact de la bouche ou d’un doigt avec l’anus) et requiert normalement un contact direct ou indirect avec les selles. Les hépatites A et B sont des maladies que l’on peut prévenir — la vaccination universelle de tous les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes est recommandée. Parlez-en à votre médecin dès aujourd’hui. Ces vaccins sont gratuits ! Il n’existe pas encore de vaccin contre l’hépatite C. Le sexe sécuritaire est aussi un moyen efficace de diminuer votre risque de contracter une hépatite.
L’hépatite B est 100 fois plus contagieuse que le VIH! Faites-vous vacciner gratuitement contre cette infection dès aujourd’hui! La vaccination gratuite contre l’hépatite A est également disponible et fortement recommandée.
Les verrues génitales (condylomes)
Les verrues aux parties génitales et à l’anus sont très fréquentes car elles se propagent facilement entre les partenaires sexuels. Alors que cette infection est souvent perçue comme étant purement un problème cosmétique ou esthétique, elle peut avoir des conséquences importantes à long terme. On croit que la présence de certains types de condylomes anaux peut être associée au cancer de l’anus (qui est plus fréquent ches les HARSAH). Des études sont présentement en cours pour évaluer le bénéfice potentiel de faire des tests de dépistage régulier dans le but de détecter et de traiter précocement les lésions cancéreuses et précancéreuses. Ce test ressemble au test Pap fait régulièrement chez les femmes sexuellement actives. Il existe des traitements, mais l’éradication est parfois difficile et les récidives ne sont pas rares. N’ignorez pas cette partie de votre anatomie! Examinez-vous, et demandez à votre médecin de vous examiner attentivement, afin de déceler la présence de verrues génitales ou anales, lors de votre prochaine visite.
L’abus de drogues
L’utilisation abusive de drogues se produit au sein de toutes les populations. On croit que les HARSAH consomment des substances illicites à une fréquence plus élevée. Peu importe, l’utilisation de substances telles que l’ecstasy, la kétamine, les amphétamines (speed), le pot ou la marijuanua et le nitrite amylique (poppers) est très répandue. On souhaite que les recherches actuelles puissent déterminer les conséquences potentiellement sérieuses associées à une utilisation régulière à long terme. Ce que l’on sait pour le moment, c’est que plusieurs de ces substances (incluant l’alcool) sont liées à une baisse de l’inhibition et à une augmentation de la prise de risques sexuels. Si vous pensez avoir un problème de consommation de drogues, consultez votre médecin pour discuter d’un traitement éventuel!
MST |
La trichomonase est une infection due à un protozoaire, trichomonas vaginalis.
Il concerne principalement la femme jeune. C’est une maladie sexuellement transmissible, mais il y a possibilité d’autres modes de transmission : en effet le trichomonas survit par exemple plusieurs heures sur le linge de toilette, car il aime les milieux alcalins et humides.
Chez la femme : c’est une vaginite intense, avec rougeur, démangeaisons, écoulement verdâtre et malodorant, qui s’accompagne de troubles en urinant (brûlures, envies fréquentes), et de douleurs pendant les rapports.
Chez l’homme : c’est une urétrite avec des signes inflammatoires locaux (rougeur, gonflement) importants et un écoulement matinal.
Il n’y a parfois pas de symptômes, mais cela n’empêche pas d’être contaminant (porteur sain). Le diagnostic se fait à l’examen direct des prélèvements locaux. Le traitement demande des antibiotiques pendant 7 jours, parfois par un traitement – minute . En cas de grossesse, le médecin recourra à des traitements prolongés. Il est indispensable de traiter le partenaire également, et de vérifier l’absence d’autres MST associées. La prévention, comme pour toutes les MST, passe par le préservatif.
MST |
Les maladies sexuellement transmissibles (MST), la prévention pendant la grossesse: la trichomonase, la chlamydia, l’herpès génital ou virus du papillome humain (VPH), la gonorrhée, la syphilis, l’hépatite et le sida.
Les maladies transmises sexuellement (MTS) sont transmises de personne à personne par des rapports sexuels:, anales et orales rapports sexuels vaginaux. Les femmes enceintes sont si enclins à les attraper comme tout le monde et peuvent causer de graves problèmes de même de la santé de la mère et bébé. Aujourd’hui, nous allons parler de la façon de prévenir la propagation des maladies MST chez la femme enceinte.
Les maladies sexuellement transmissibles sont un problème auquel nous devons toujours faire attention. Les MST les plus courantes sont la trichomonase, la chlamydia, l’herpès génital ou virus du papillome humain (VPH), la gonorrhée, la syphilis, l’hépatite et le sida.
Comme vous le savez peut-être, la seule façon de prévenir l’infection par des rapports sexuels sans danger. Lorsque vous êtes enceinte , vous pourriez penser à mettre fin à l’utilisation du préservatif (masculin ou féminin) parce que, évidemment, ne pas courir le risque de grossesse non désirée.
Mais nous devons être conscients que vous pouvez attraper une maladie transmissible sexuellement, ou infectent simultanément un partenaire sexuel si elles sont porteuses. C’est pourquoi nous devons maintenir pendant la grossesse pratiques sexuelles sans risque , nous aussi nous protéger la santé de votre bébé de. Fondamentalement, il existe trois formes de prévention :
1. Se sont abstenus de tout contact sexuel
2. Avoir des relations sexuelles avec un partenaire, dans lequel ni avoir de contacts sexuels avec d’autres, et dans lequel les deux ont effectué les tests pour les MST et sont sûrs de ne pas avoir une infection.
3. Utilisez des préservatifs en latex lors de chaque contact sexuel après respect de toutes les consignes de sécurité. Cette forme de prévention réduit le risque de contracter le virus VIH (sida), la gonorrhée, le virus du papillome humain (VPH), chlamydiose et trichomonase. MST comme l’herpès génital, la syphilis et le chancre mou utilisation du préservatif est efficace seulement lorsque la zone infectée ou de la zone est couverte par le condom. image
MST peuvent être transmis de la mère à l’enfant pendant la grossesse, l’accouchement et, dans le cas du SIDA – même dans la petite enfance. Dans de tels cas, il peut causer des graves problèmes de santé du nouveau-né, faible poids de naissance, la pneumonie, les infections du sang, des lésions nerveuses, la cécité, la surdité, les maladies chroniques du foie et même la mort.
Il est donc très important de réaliser ainsi le premier des contrôles de grossesse , tests de la présence de MST chez les femmes enceintes. Si nous avons un diagnostic peut être traitée pour minimiser les risques. En présence de l’une des communes les symptômes des MST consulter immédiatement votre médecin.
Les plus courants sont:
– des pertes vaginales anormales (jaune, gris ou vert) et l’odeur d’amine (de poisson)
– rougeur du vagin, douleur, sensation de brûlure ou des démangeaisons, des douleurs pendant la miction ou le sexe,
– de petites ampoules, des ulcères ou des verrues qui apparaissent sur les organes génitaux et / ou anale (également dans le domaine de la bouche ou la gorge).
– l’hépatite B a-comme des symptômes de grippe: toux, maux de gorge, fatigue, perte d’appétit et des douleurs abdominales. Aussi peau et yeux jaunes, urine brun foncé, selles décolorées.
– le SIDA est l’implication du système immunitaire, de sorte que la seule indication de la maladie est l’apparition de diverses infections.
MST
Qu’est-ce que le chancre mou?
C’est une maladie sexuellement transmissible due à un bacille, l’Hemophilus Ducrey, plus souvent présent dans les pays en voie de développement.
La maladie :
– L’incubation dure quelques jours.
– Il y a au début une élevure sur la peau, qui s’ulcère et devient inflammatoire (rouge, avec suintement), de taille variable.
– Les lésions deviennent multiples par auto-inoculation (en touchant les lésions ouvertes).
– Des ganglions du secteur se mettent à gonfler, ils deviennent douloureux, et se fistulisent (ils s’ouvrent sur la peau pour laisser évacuer ce qu’ils contiennent).
– Pour confirmer l’origine des lésions, on gratte la surface de la peau pour faire un examen bactériologique (microscope, mise en culture).
– La règle est de chercher toujours une autre MST associée. C’est pourquoi le médecin peut être amené à faire des analyses ou des prélèvements complémentaires.
– Le traitement consiste en des antibiotiques.
Le chancre mou est-il fréquent?
À l’échelle mondiale, le chancre mou est plus fréquemment associé aux ulcères des organes génitaux que la syphilis peut l’être (voir la section sur la syphilis). Même si l’incidence est plus élevée dans les pays tropicaux ou subtropicaux, tels que l’Afrique (Haemophilus ducreyi pouvant causer jusqu’à 70 % des ulcères génitaux), des éclosions ont été signalées peu fréquemment au Canada et aux États-Unis (des cliniques spécialisées dans les infections indiquent qu’une proportion pouvant atteindre de 10 à 20 % des ulcères génitaux sont attribuables à cet agent pathogène). Cette infection demeure rare au Québec, à l’exception de personnes ayant eu des relations à l’étranger (régions endémiques) ou avec des partenaires provenant de régions endémiques.
Comment se transmet le microbe responsable du chancre mou?
L’infection se transmet par des rapports sexuels avec une personne infectée et en phase contagieuse, par contact génital, oral ou anal, et ce même s’il n’y a pas de pénétration.
L’infection commence généralement par des petits boutons ou lésions rouges qui se transforment rapidement en pustules (petites bulles contenant du pus), puis en petits ulcères superficiels (petites plaies ouvertes) et douloureux (variant entre 3–20 mm de diamètre). Une membrane grisâtre recouvre les ulcères et le retrait de cette membrane révèle un tissu granuleux qui saigne facilement. Contrairement à la syphilis, les ulcères causés par Haemophilus ducreyi ont un contour irrégulier et non induré (gonflement anormalement dur).
Chez 60 % des personnes atteintes du chancre, les ganglions dans les aines (glandes du système immunitaire) vont gonfler dans les jours voire les semaines suivant le contact. Initialement discrets et douloureux, environ la moitié des ganglions vont devenir infectés et former un abcès. La peau recouvrant la glande enflée devient rouge et peut même se rompre.
Chez l’homme, c’est surtout sur le prépuce que l’on trouve le chancre mou, pouvant provoquer parfois un phimosis (étroitesse du prépuce, qui empêche de découvrir le gland), ou plus rarement un paraphimosis (un étranglement du gland par le prépuce – une complication du phimosis). Le chancre mou peut aussi apparaître sur le gland (tête du pénis), ainsi que sur le corps du pénis, ou à la sortie de l’urètre (conduit à l’intérieur du pénis). L’anus et le rectum peuvent aussi être atteints tout comme le scrotum et les cuisses.
Chez la femme, on trouve le chancre mou principalement dans le vagin, sur les lèvres génitales et dans la région péri-anale, mais rarement sur le col de l’utérus. Les lésions extra-génitales sont aussi peu fréquentes.
Le chancre mou ne semble pas affecter le cours normal de la grossesse et la transmission de l’infection au foetus ne semble pas se produire. On peut facilement traiter la femme enceinte avec des antibiotiques qui sont sûrs durant la grossesse (érythromycine ou ceftriaxone).
Le chancre est difficile à diagnostiquer à l’examen clinique, spécialement dans les régions où l’incidence est faible. En présence d’ulcères ou d’un abcès, l’examen des sécrétions au microscope permet d’observer Haemophilus ducreyi (on recherche des bâtonnets formant une voie ferrée). La culture de matériel provenant de la base d’un ulcère (prélèvement de sécrétions à l’aide d’un coton-tige) permet d’identifier le micro-organisme dans 70-80 % des cas de chancre mou. Les méthodes d’amplification de l’ADN ainsi que les tests sanguins ne sont pas encore tout à fait au point.
Le chancre mou répond très bien aux antibiotiques tels que l’azythromycine, le ceftriaxone, la ciprofloxacine et l’érythromycine. Les symptômes s’améliorent après 3 jours et la guérison des plaies est évidente après 3-7 jours. L’application répétée de pansements à l’eau saline sur les ulcères et le phimosis prévient l’infection bactérienne secondaire. Les abcès devraient être aspirés avant de commencer le traitement par antibiotiques.
Qui est susceptible de contracter le chancre mou?
Le risque de contracter le chancre mou est plus grand lorsqu’une personne a des relations sexuelles sans condom, avec ou sans pénétration du pénis dans le vagin, l’anus ou la bouche avec :
– Un nouveau partenaire (homme ou femme), même régulier, qui n’a pas vu un médecin pour se faire confirmer qu’il n’a pas le chancre mou;
– Un partenaire qui a d’autres partenaires sexuels (ou qui en a eu sans qu’on le sache nécessairement);
– Plus d’un partenaire;
– Un partenaire anonyme ou de hasard;
– Un partenaire travaillant dans l’industrie du sexe;
– Un partenaire provenant d’un pays tropical ou subtropical.
Comment les personnes atteintes du chancre mou peuvent-elles en empêcher la transmission?
1. En utilisant un condom qui offre une bonne protection lorsqu’il est bien utilisé et ce de façon systématique.
2. En présence d’un ulcère, bouton ou rougeur il faut s’abstenir de s’engager dans des activités sexuelles et consulter un médecin.
3. En parlant de santé sexuelle et de MTS avec ses partenaires.
4. En avertissant tous vos partenaires (des derniers 1 à 90 jours), brisant ainsi la chaîne de transmission et protégeant des risques de re-contamination.
Comment puis-je éviter de contracter le chancre mou?
Utilisez un condom en latex (masculin, féminin, ou une digue dentaire lors de rapports sexuels oro-génitaux) en tout temps avec tous vos partenaires.
L’abstinence sexuelle ou une relation sexuelle monogame avec un partenaire connu n’ayant aucune lésion ou infection est aussi un moyen efficace de prévenir le chancre mou ainsi que les autres ITS chez les personnes actives sexuellement.